La France qui accueille
Jean-François Corty
avec Dominique Chivot
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Jean-François Corty et Dominique Chivot signent aux Éditions de l’Atelier l’ouvrage La France qui accueille.
Mercredi 21 février était présenté en Conseil des ministres le projet de loi asile-immigration, qui suscite depuis quelques semaines de nombreuses réactions en France. Si l’intention d’accélérer les procédures d’examen des dossiers paraît justifiée, plusieurs mesures contenues dans ce texte rognent toujours un peu plus les droits des réfugiés.
Faire mieux et plus vite, mais… à quel prix ?
Ce projet de loi risque d’accentuer le côté répressif de la politique migratoire au détriment de l’accueil, alors que de nombreuses expériences montrent ici ou là la réussite de l’intégration. Le texte du gouvernement prévoit de « trier » et cantonner les personnes fuyant la guerre ou la misère, transformant l’accueil en un instrument de contrôle des exilés.
Pourtant, loin de ce discours dominant de peur et de rejet, il existe une autre France, ouverte et hospitalière, qui voit en l’accueil un synonyme de cohésion sociale, mais aussi de plus-value économique et humaine. « Accueillir, c’est honorer le troisième pilier de la devise républicaine : la fraternité. »
Directeur des opérations internationales à Médecins du Monde, Jean-François Corty dans son ouvrage rend hommage à cette société civile qui a envie de prendre part à l'amélioration, qualitative et quantitative, de l'accueil des migrants en France. Il y recense des initiatives qui ont permis à de nombreux migrants d’être protégés et de subvenir à leurs besoins vitaux. Il détaille les moyens humains, logistiques et techniques développés et coordonnés par ces mobilisations en faveur d’une vie moins douloureuse.
Faire mieux et plus vite, mais… à quel prix ?
Ce projet de loi risque d’accentuer le côté répressif de la politique migratoire au détriment de l’accueil, alors que de nombreuses expériences montrent ici ou là la réussite de l’intégration. Le texte du gouvernement prévoit de « trier » et cantonner les personnes fuyant la guerre ou la misère, transformant l’accueil en un instrument de contrôle des exilés.
Pourtant, loin de ce discours dominant de peur et de rejet, il existe une autre France, ouverte et hospitalière, qui voit en l’accueil un synonyme de cohésion sociale, mais aussi de plus-value économique et humaine. « Accueillir, c’est honorer le troisième pilier de la devise républicaine : la fraternité. »
Directeur des opérations internationales à Médecins du Monde, Jean-François Corty dans son ouvrage rend hommage à cette société civile qui a envie de prendre part à l'amélioration, qualitative et quantitative, de l'accueil des migrants en France. Il y recense des initiatives qui ont permis à de nombreux migrants d’être protégés et de subvenir à leurs besoins vitaux. Il détaille les moyens humains, logistiques et techniques développés et coordonnés par ces mobilisations en faveur d’une vie moins douloureuse.
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