Non, il ne s´agit pas d´une maladie, mais de la "Grande suite musicale" Dogora, écrite par Etienne Perruchon ! Un spectacle qui allie allègrement des choeurs d´adultes, un orchestre symphonique, un ensemble harmonique, les polyphonies "Corou de Berra" des Alpes du Sud et le ténor mongol Bazarrachaa Baast.
Chacun a en tête la fameuse publicité télévisée de Vinci dont le slogan est "un pont entre les hommes". Eh bien la musique qui accompagne cette publicité est un extrait de Dogora ! Une puissante, enthousiasmante, voire même énivrante symphonie, née de la complicité de l´auteur avec le cinéaste Patrice Leconte.
"Le dogorien est une langue à forte sonorité slave"
La partition relate l´histoire d´un peuple nomade imaginaire. Chantée en "Dogorien", une "novlangue" à forte sonorité slave née de l´imagination d´ Etienne Perruchon . Il nous raconte qu´il a beaucoup voyagé en europe et en asie et qu´il a eu la chance de travailler en Pologne, à Cracovie, où il a composé "la danse du fou" . Il a aussi écrit pour des ballets pyrotechniques. C´est à la fin d´un de ses spectacles à Paris qu´il a rencontré Patrice Leconte. Enthousiasmé par sa musique et la "partition vivifiante, mélancolique, enfantine de Dogora", le réalisateur a très rapidement décidé d´en faire un film.
Dogora a déjà été joué sur presque tous les continents et a été reçu de manière spectaculaire.
SDates des spectacles sur : Dogoramania.com-
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