Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A (sans emploi) a diminué en juillet dans la région Rhône-Alpes de 0,4 % (soit 1 162 demandeurs d’emplois de moins par rapport au mois de juin). Cette diminution, la première intervenue depuis mai 2011, a plutôt concerné les femmes (-0,8% contre (+0,1% pour les hommes).
La plupart des départements a enregistré une baisse significative : -2,5 % dans la Drôme-1,1 % dans la Loire-0,9 % dans l’Ain-0,7 % en Ardèche -0,3 % en Savoie -0,1 % en Isère. Mais le Rhône et la Haute-Savoie ont connu, eux, une hausse limitée avec respectivement +0,3 % et +0,5 %.
Ce bon chiffre s’ajoute, selon la Préfecture de Région, à d’autres indicateurs "pour démontrer que grâce à un début de reprise économique et grâce également aux emplois aidés, la région donnera raison au Président de la République et inversera les chiffres du chômage d’ici la fin de l’année". Certes, les chiffres sont encore incertains et fragiles et les analyses confirment que rien n’est encore gagné. Il n’en reste pas moins que ce chiffre doit relancer la confiance, qui elle-même générera la croissance.
Le développement des "activités réduites".
L’amélioration intervenue en juillet, pour la première fois depuis plus de deux ans, s’explique notamment par le fait que les chômeurs, jusqu’alors sans activité professionnelle, ont obtenu une activité temporaire et ont ainsi basculé vers les catégories B et C (activité réduite). Leur nombre augmente en effet de 5 %. C’est à moyen terme un signe de reprise encourageant. Sur un an, le rythme de progression du nombre des demandeurs d’emplois s’est ralenti pour la catégorie A (+ 9,6 % fin juillet contre +11,4 % fin juin). Le chômage de longue durée s’est malheureusement accru : +1,6 % en juillet, une hausse identique à celle observée fin juin.
Fin juillet, les chômeurs de plus d’un an, représentaient 38,1 % des inscrits contre 35,5 % en juillet 2012.
Jean-François Carenco, préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône, se félicite de cette baisse du nombre des chômeurs de catégorie A dans la région. Ce bon chiffre s’ajoute à d’autres indicateurs pour démontrer que grâce à un début de reprise économique et grâce également aux emplois aidés, la région donnera raison au Président de la République et inversera les chiffres du chômage d’ici la fin de l’année. Certes, les chiffres sont encore incertains et fragiles et les analyses confirment que rien n’est encore gagné. Il n’en reste pas moins que ce chiffre doit relancer la confiance, qui elle-même générera la croissance. Plus que jamais, les services de l’Etat sont mobilisés pour la création d’activités et d’emplois.
Le développement des "activités réduites".
L’amélioration intervenue en juillet, pour la première fois depuis plus de deux ans, s’explique notamment par le fait que les chômeurs, jusqu’alors sans activité professionnelle, ont obtenu une activité temporaire et ont ainsi basculé vers les catégories B et C (activité réduite). Leur nombre augmente en effet de 5 %. C’est à moyen terme un signe de reprise encourageant. Sur un an, le rythme de progression du nombre des demandeurs d’emplois s’est ralenti pour la catégorie A (+ 9,6 % fin juillet contre +11,4 % fin juin). Le chômage de longue durée s’est malheureusement accru : +1,6 % en juillet, une hausse identique à celle observée fin juin.
Fin juillet, les chômeurs de plus d’un an, représentaient 38,1 % des inscrits contre 35,5 % en juillet 2012.
Jean-François Carenco, préfet de la région Rhône-Alpes, préfet du Rhône, se félicite de cette baisse du nombre des chômeurs de catégorie A dans la région. Ce bon chiffre s’ajoute à d’autres indicateurs pour démontrer que grâce à un début de reprise économique et grâce également aux emplois aidés, la région donnera raison au Président de la République et inversera les chiffres du chômage d’ici la fin de l’année. Certes, les chiffres sont encore incertains et fragiles et les analyses confirment que rien n’est encore gagné. Il n’en reste pas moins que ce chiffre doit relancer la confiance, qui elle-même générera la croissance. Plus que jamais, les services de l’Etat sont mobilisés pour la création d’activités et d’emplois.
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