Le magazine Ulysse de Courrier International vient de publier un atlas des plus belles routes du vin, en kiosque depuis le 1er avril 2010.
Un magazine "à consommer sans modération" nous dit le rédacteur en chef Jean Christophe Rampal, qui souligne que le vin appelle la passion et la démesure partout sur la planète. "Chaque vigneron, chaque maître de chai, rencontré par nos journalistes, a pris le temps de les guider avec enthousiasme entre les rangs de ceps, les tonneaux et les recoins de caves peuplées de bouteilles magiques".
Le carmenere, cépage oublié du bordelais...
Aujourd'hui, il existe des vignes sous l'équateur, au Japon, en Chine... Ceux qu'on appelle les "vins du nouveau monde", venus du Chili, conquièrent chaque jour, à l'image des carmeneres - anciens cépages bordelais replantés là pour échapper au phylloxera - de la vallée de Maipo, de nouveaux marchés.
Ils améliorent sans cesse leur qualité de production, jouant non seulement sur le contenu mais aussi sur toutes les phases de la commercialisation et de la communication. Bouteilles, emballages, bouchons, design, étiquettes, rien n'est oublié pour, au final, marquer la différence et donner l'envie de goûter.
Car le vin - et sa culture - reste associé à la passion et au plaisir. "Du Chili à l’Italie en passant par la Provence, qu’ils soient ancien légionnaire, Anglais excentrique ou chef d’entreprise moldave, ils communiquent avec des mots simples un amour immodéré de leurs vignobles", écrit Jean Christophe Rampal.
On achète une bonne bouteille pour son contenu, mais aussi et surtout pour l'histoire qu'elle transporte. Des vins d'Australie à ceux de Californie, de l'île sicilienne de Mozia aux caves troglodytiques du musée Rabelais à Seuilly (près de Chinon), le magazine déniche des goûts et des arômes du monde entier qui nous rappellent opportunément que la mondialisation n'est pas qu'affaire de finance, de commerce et de "plus values" ; elle peut être aussi synonyme d'échange, de culture et de préservation des traditions...
Ce numéro n'oublie pas, en effet, de laisser une place aux producteurs "bio", qui "pratiquent une agriculture raisonnée et des méthodes plus douces".
On achète une bonne bouteille pour son contenu, mais aussi et surtout pour l'histoire qu'elle transporte. Des vins d'Australie à ceux de Californie, de l'île sicilienne de Mozia aux caves troglodytiques du musée Rabelais à Seuilly (près de Chinon), le magazine déniche des goûts et des arômes du monde entier qui nous rappellent opportunément que la mondialisation n'est pas qu'affaire de finance, de commerce et de "plus values" ; elle peut être aussi synonyme d'échange, de culture et de préservation des traditions...
Ce numéro n'oublie pas, en effet, de laisser une place aux producteurs "bio", qui "pratiquent une agriculture raisonnée et des méthodes plus douces".
Gilles Roman
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