L’enthousiasme des acheteurs :
Dans une salle des ventes limitée à 50 personnes et avec 850 inscrits en live, les ventes d’IVOIRE LYON qui se déroulaient les 6, 8 et 11 juin, ont totalisé 900.000€ frais compris.
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| Alphonse CORNET (1839-1898), " Le banc de la dèche au jardin du Louvre ", 1885. Huile sur toile, signée et datée en bas à gauche. 110 x 149 cm – IVOIRE LYON 8 juin 2020 |
«On a senti un vrai enthousiasme dans le public. Nous n’avons jamais eu autant d’inscrits sur les plateformes de vente en live. Par ailleurs nous avons eu beaucoup de demandes pour assister à la vente que nous avons dû refuser en raison des exigences sanitaires. Cela montre que les gens ont envie de sortir et envie d’acheter» constatait Grégoire Battin, commissaire-priseur d’IVOIRE LYON.
Parmi les belles enchères enregistrées lors de ces 4 vacations, nous avons retenu les 55.088€ (frais compris) qui récompensaient un tableau d’Alphonse Cornet, trouvé dans un grenier. Le sujet « Le banc de la dèche au jardin du Louvre, 1885 » illustre la misère dans laquelle vivait l’artiste dont la carrière est peu documentée. Estimé 3.000/5.000€, il multipliait par 10 son estimation.
Mais la surprise la plus spectaculaire venait d’une commode d’époque fin XVIIIème début XIXème siècle provenant d’Italie du Nord qui multipliait par 10 son estimation pour atteindre 20.261€. Dix enchérisseurs se la disputaient au téléphone. L’enthousiasme pour le mobilier était assez général tandis que du coté des bijoux, une parure issue de la collection " Optical " réalisé par Jacques LENFANT dans les années 70, reprenant les principes optico cinétique de Vasarely, totalisait 21.421€ (18.154€ le bracelet et 3.267€ le pendentif). Une Rolex Submariner de 1979 doublait son estimation pour atteindre 16.700€.
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