Selon un dossier présenté par le site internet de "Particuliers à Particuliers"; le marché de l'immobilier lyonnais est caractérisé par l'arrivée massive de nouveaux habitants dans l'agglomération.
Comme d'autres villes de l'Ouest et du sud du pays, la métropole lyonnaise, qui compte aujourd'hui 1300000 habitants, ne devrait pas cesser de croître, au moins jusqu'aux années 2030, où elle pourrait atteindre les trois millions d'habitants.
On est encore loin, heureusement, des mégalopoles internationales, mais cette croissance démographique, liée au dynamisme économique. du Grand Lyon, peut créer des tensions entre l'offre et la demande d'immobilier. L'article note que la concurrence est forte avec les agglomérations de Barcelone et Manchester, pour attirer des entreprises et des nouveaux habitants, travaillant dans le secteur tertiaire, mais là encore Lyon rests bien placée du fait du dynamisme des quartiers de la Confluence et de la Part Dieu qui drainent les investissements en centre ville.
Dans l'ancien, selon les quartiers lyonnais, PAP.fr note que les prix des logements "connaissent une forte amplitude, passant de 1.687 à plus de 3.218 € le mètre carré selon la chambre des notaires du Rhône". Dans le quartier de la Tête-d'Or , les appartements se vendent en moyenne 3.218 € le mètre carré alors que ceux de la Presqu'île sont paradoxalement bien inférieurs ( 3.093 € le mètre carré). Quant au plateau de la Duchère, qui fait l'objet d'un programme de réhabilitation à très long terme, il continue à proposer le meilleur rapport qualite/prix, avec 1.687 € le mètre carré.
G.R.
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